Nous vivons tous des traumatismes au cours de notre vie. L’accompagnement au déploiement propose une nouvelle vision du traumatisme et donc une nouvelle façon de le désactiver. La vie étant un écosystème, toute rupture dans l'unité du vivant, qu'il s'agisse d'un clivage intrapsychique, interpersonnel, entre groupes sociaux ou de l'humanité avec son environnement, est traumatique. L’accompagnement au déploiement (pratique des traumaticien·nes) permet de mettre fin aux clivages et favorise le déploiement qui est le mouvement même de la vie.

Un accompagnement spécifique des personnes qui ont subi des violences sexuelles

L'accompagnement au déploiement permet la désactivation de tous les traumatismes mais il est particulièrement adapté pour accompagner les personnes ayant subi des violences sexuelles. Le plus souvent, une seule séance suffit.

Une nouvelle approche en sexologie

L'accompagnement au déploiement permet de surmonter une difficulté dans la sexualité, plus rapidement qu'en sexologie classique.
La quatrième partie du livre rapporte les résultats d'une enquête réalisée pour mon mémoire de sexologie sur les conséquences des violences sexuelles sur la sexualité des femmes qui les ont subies dans leur enfance.

La prise en compte des traumatismes sociaux

Si l'exercice de rapports de domination provoque des traumatismes individuels, certaines croyances socialement partagées sont clivantes et induisent des traumatismes sociaux que nous pouvons désactiver.

La désactivation des traumatismes historiques

Pour sortir de la violence et des rapports de pouvoir que l'humanité exerce contre elle-même ou sur son environnement, l’accompagnement au déploiement propose de désactiver collectivement les traumatismes historiques (les guerres, les génocides, l’écocide...).

L'accompagnement au déploiement est ainsi une proposition concrète pour sortir de la culture du viol par la désactivation des traumatismes individuels et collectifs et par la sacralisation sociale du vivant.

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